N’en déplaise à beaucoup, il s’agit d’un pays développé et démocratique avec un état de droit toujours intact (bien que de justesse).
L’Afrique du Sud de l’apartheid avait des institutions légales et électorales, mais ce n’était ni un État de droit ni une démocratie, car elle excluait une majorité de la population du processus politique
Si l’autodétermination est refusée à une partie de la population (c’est le cas pour Israël), cela viole le principe d’égalité devant la loi et des droits fondamentaux, ce qui est incompatible avec un État de droit et remet en cause la démocratie réelle même si des institutions démocratiques existent formellement
Un État qui restreint le droit à l’autodétermination à une partie de sa population ne peut pas être pleinement considéré comme un État de droit ni une démocratie, car il viole des principes fondamentaux d’égalité, de liberté et de souveraineté populaire
N’en déplaise à beaucoup, il s’agit d’un pays développé et démocratique avec un état de droit toujours intact (bien que de justesse).
L’Afrique du Sud de l’apartheid avait des institutions légales et électorales, mais ce n’était ni un État de droit ni une démocratie, car elle excluait une majorité de la population du processus politique
Si l’autodétermination est refusée à une partie de la population (c’est le cas pour Israël), cela viole le principe d’égalité devant la loi et des droits fondamentaux, ce qui est incompatible avec un État de droit et remet en cause la démocratie réelle même si des institutions démocratiques existent formellement
Un État qui restreint le droit à l’autodétermination à une partie de sa population ne peut pas être pleinement considéré comme un État de droit ni une démocratie, car il viole des principes fondamentaux d’égalité, de liberté et de souveraineté populaire
La forme ne remplace pas le fond