L'utilisation de poupées sexuelles d'apparence enfantine, qui ne sont pas que de simples objets de fantasme, "constitue un indicateur et un facilitateur dans le processus criminel". Leur détention est punie par la loi.
Le procureur de la République de Dieppe s’en était justifié auprès de France 3 Normandie(Nouvelle fenêtre), considérant “qu’en tant que personne morale, il n’y avait pas d’élément intentionnel de commettre l’infraction”, la plateforme [Amazon] ayant réagi “dès que le problème [avait] été signalé”, en cessant toute collaboration avec le site chinois qui vendait les poupées et qu’elle hébergeait.
ça, ça me bute, ça me bute à un point inimaginable. “Ils ont rien vérifié et ont permis à un vendeur de vendre des produits illégaux via leur plateforme mais dès qu’on leur a dit ils ont tout arrêté, donc ça va”, à quel moment c’est une bonne justification ?
Ben c’est la même que pour les hébergeurs qui ne lisent pas a priori les sites qu’ils hébergent, les transporteurs qui ne vérifient pas les contenus qu’ils envoient, les banques qui ne vérifient pas toutes les transactions qu’elles font.
C’est une plateforme qui a un devoir d’intervention a posteriori, c’est pas nouveau.
La différence c’est que l’hébergeur n’est qu’un outil. Sur Amazon, je commande avec mon compte Amazon, ils font partie de la transaction. Pour un peu, c’est aussi eux qui gèrent la logistique. On ne parle pas de Shopify par exemple. Y’a quand même une nuance.
De ce que je comprends, Amazon et les trucs à la Shein sont quasiment devenus des shopify-like, pour certaines catégories de vendeurs. Et les références changent si souvent que c’est pas réaliste de demander à Amazon de manuellement vérifier chaque changement.
ça, ça me bute, ça me bute à un point inimaginable. “Ils ont rien vérifié et ont permis à un vendeur de vendre des produits illégaux via leur plateforme mais dès qu’on leur a dit ils ont tout arrêté, donc ça va”, à quel moment c’est une bonne justification ?
Amazon est une plateforme américaine.
Ben c’est la même que pour les hébergeurs qui ne lisent pas a priori les sites qu’ils hébergent, les transporteurs qui ne vérifient pas les contenus qu’ils envoient, les banques qui ne vérifient pas toutes les transactions qu’elles font.
C’est une plateforme qui a un devoir d’intervention a posteriori, c’est pas nouveau.
La différence c’est que l’hébergeur n’est qu’un outil. Sur Amazon, je commande avec mon compte Amazon, ils font partie de la transaction. Pour un peu, c’est aussi eux qui gèrent la logistique. On ne parle pas de Shopify par exemple. Y’a quand même une nuance.
De ce que je comprends, Amazon et les trucs à la Shein sont quasiment devenus des shopify-like, pour certaines catégories de vendeurs. Et les références changent si souvent que c’est pas réaliste de demander à Amazon de manuellement vérifier chaque changement.