L'utilisation de poupées sexuelles d'apparence enfantine, qui ne sont pas que de simples objets de fantasme, "constitue un indicateur et un facilitateur dans le processus criminel". Leur détention est punie par la loi.
Ce n’est pas le seul problème que je vois ou qui me choque quand je lis 20% des e-commerçants chinois. 40% d’Amazon me paraîtrait tout aussi aberrant (je ne connais pas le chiffre pour ce dernier).
Surtout associée à la donnée que les français, en moyenne, se font livrer 60 colis par an.
Je sais bien que dans certains coins ou situations, c’est difficile de faire autrement et que les commerces in-situ périclitent en faveur du modèle de livraison. Mais, ce chiffre reste énorme.
Le problème que je vois, au-delà du lieu de production, c’est le capitalisme débridé, le règne de l’hyperconsommation et du matraquage de la pub, couplée à des petits salaires qui incitent, sans trop se poser de questions, à commander à gogo des produits de base qualité, dangereux, peu écologiques et fabriqués dans des conditions proches de l’esclavage.
Tu associes ça au fait qu’on envoie ensuite, en les faisant payer en plus, toutes nos merdes “de seconde main” à des pays africains, irrécupérables et finissant dans des décharges à ciel ouvert…
Ce n’est pas le seul problème que je vois ou qui me choque quand je lis 20% des e-commerçants chinois. 40% d’Amazon me paraîtrait tout aussi aberrant (je ne connais pas le chiffre pour ce dernier). Surtout associée à la donnée que les français, en moyenne, se font livrer 60 colis par an.
Je sais bien que dans certains coins ou situations, c’est difficile de faire autrement et que les commerces in-situ périclitent en faveur du modèle de livraison. Mais, ce chiffre reste énorme.
Le problème que je vois, au-delà du lieu de production, c’est le capitalisme débridé, le règne de l’hyperconsommation et du matraquage de la pub, couplée à des petits salaires qui incitent, sans trop se poser de questions, à commander à gogo des produits de base qualité, dangereux, peu écologiques et fabriqués dans des conditions proches de l’esclavage.
Tu associes ça au fait qu’on envoie ensuite, en les faisant payer en plus, toutes nos merdes “de seconde main” à des pays africains, irrécupérables et finissant dans des décharges à ciel ouvert…