Aujourd’hui, plus personne ne hausse les épaules de façon crédible quand on parle d’un retour des fascismes. À La Quadrature du Net, nous parlons « d’autoritarisme » depuis longtemps. Mais ce qu’on a longtemps pris pour une série d’escarmouches ressemble aujourd’hui de plus en plus à une attaque coh
Dans ce contexte, iels ont programmé cinq livre d’ici fin décembre, je cite:
Le 21 novembre à 18h30, le premier live portera sur les notions de « fascisme » et de « technofascisme », pour se mettre d’accord sur les mots avant de parler du fond, et pour cela on recevra Nastasia Hadjadji, co-autrice de Apocalypse Nerds, Comment les techno-fascistes ont pris le pouvoir.
Le 26 novembre à 19h, on recevra Soizic Pénicaud et Clément Pouré pour parler du travail de journalisme et de son articulation avec les luttes militantes, dans un contexte d’extrême droitisation de la sphère médiatique.
Le 3 décembre à 19h30, on questionnera l’apparente « neutralité de la technique » en analysant comment la forme qui est donnée aux objets techniques les met bien souvent au service de la fascisation, et on explorera d’autres façons de la concevoir menant vers un chemin émancipateur.
Le 10 décembre à 19h, on abordera la question de la surveillance des frontières à travers le rôle qu’y jouent les outils numériques, et de ce qu’elle préfigure quant aux techniques de contrôle de la population.
Le 17 décembre à 19h, on s’attaquera aux techniques de répression utilisées par les services de renseignement contre les personnes musulmanes, à commencer par les assignations à résidence et l’utilisation de notes blanches pour les criminaliser.
Dans ce contexte, iels ont programmé cinq livre d’ici fin décembre, je cite:
Le 21 novembre à 18h30, le premier live portera sur les notions de « fascisme » et de « technofascisme », pour se mettre d’accord sur les mots avant de parler du fond, et pour cela on recevra Nastasia Hadjadji, co-autrice de Apocalypse Nerds, Comment les techno-fascistes ont pris le pouvoir.
Le 26 novembre à 19h, on recevra Soizic Pénicaud et Clément Pouré pour parler du travail de journalisme et de son articulation avec les luttes militantes, dans un contexte d’extrême droitisation de la sphère médiatique.
Le 3 décembre à 19h30, on questionnera l’apparente « neutralité de la technique » en analysant comment la forme qui est donnée aux objets techniques les met bien souvent au service de la fascisation, et on explorera d’autres façons de la concevoir menant vers un chemin émancipateur.
Le 10 décembre à 19h, on abordera la question de la surveillance des frontières à travers le rôle qu’y jouent les outils numériques, et de ce qu’elle préfigure quant aux techniques de contrôle de la population.
Le 17 décembre à 19h, on s’attaquera aux techniques de répression utilisées par les services de renseignement contre les personnes musulmanes, à commencer par les assignations à résidence et l’utilisation de notes blanches pour les criminaliser.