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Cake day: May 17th, 2024

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  • C’est exactement la même qui a pété le projet précédent menant a la séparation ef2000/rafale.

    Avec pareil Dassault qui fout la merde sur les sous-traitants par nationalisme (la dernière fois c’était Snecma contre un consortium europeen) et qui veut cheffer de manière autoritaire.

    Le plus fun:

    « Ce mode de gouvernance où, tout en étant leader, on n’a qu’un tiers de la décision, fait que la raison industrielle peut buter sur d’autres intérêts, il y a beaucoup de tractations, c’est un processus long et difficile », avait ainsi expliqué Éric Trappier, le PDG de Dassault Aviation.

    Suivi de:

    « Dassault demande 51 % du pilier n° 1 et donc un leadership clair sur l’architecture de l’avion. Je rappelle que ce programme est sous direction française.

    Ben oui, un leader de consortium c’est pas un dictateur qui ronchonne mais c’est moi le cheffeuuuhhh , les tractations sont essentielles, et la seule décision industrielle raisonnable est de choisir un leader qui comprend ça. Surtout que le message de base est clair: tu as le leadership parce-que tu n’as que 1/3 des sous, ça permet de rééquilibrer.

    En arriver a un stade ou un syndicat dénonce ton comportement, c’est fort.

    En vrai, la solution est simple, virer le chef Dassault du consortium et le remplacer par une personne plus souple pour apaiser la situation, et arrêter de jour au français puant dont la caricature est détestée partout en europe.