Intéressant, et on a une idée de pourquoi ces alternatives chimiques (sur l’agroécologie, je conçois que ça demande une organisation de plus longue haleine) ne sont pas plus largement utilisées? Et d’à quel point elles sont utilisées, d’ailleurs?
Pas de stats sur l’utilisation actuelle dans l’article. Pour le côté agroecologique, l’article concède que c’est des pratiques plus complexes à mettre en place.
Au doigt mouillé, je dirais qu’il doit y avoir un mélange de contraintes économiques ou logistiques, d’habitudes des agriculteurs/agricultrices et demarcheurs/demarcheuses, et aussi de taille des exploitations (plus difficile de faire de la polyculture et du traitement curatif sur des dizaines d’hectares, même avec plusieurs salarié.e.s et machines)
Intéressant, et on a une idée de pourquoi ces alternatives chimiques (sur l’agroécologie, je conçois que ça demande une organisation de plus longue haleine) ne sont pas plus largement utilisées? Et d’à quel point elles sont utilisées, d’ailleurs?
Pas de stats sur l’utilisation actuelle dans l’article. Pour le côté agroecologique, l’article concède que c’est des pratiques plus complexes à mettre en place.
Au doigt mouillé, je dirais qu’il doit y avoir un mélange de contraintes économiques ou logistiques, d’habitudes des agriculteurs/agricultrices et demarcheurs/demarcheuses, et aussi de taille des exploitations (plus difficile de faire de la polyculture et du traitement curatif sur des dizaines d’hectares, même avec plusieurs salarié.e.s et machines)