Selon un sondage Harris Interactive pour le magazine «Regards», 26 % des électeurs voteraient pour un candidat unique de la gauche. 20 % si les insoumis partaient seuls de leur côté.
Le souci c’est que “la gauche” 'n’existe pas. Il y en a au moins deux, avec des priorités et des valeurs plus irréconciliables qu’à jamais. Donc cette hypothétique unité ne pourra jamais être que de façade, avec un destin tout aussi prévisible que celui du NFP actuel.
Pas sur que la frontière soit aussi nette chez les électeurs. Au dernières législatives, j’ai jamais entendu autant de “il faut voter hein” autour de moi, de la part de gens pas plus engagés que ça.
Que l’unité soit de façade, et qu’ils passent le reste du mandat à se cracher dessus si ça les amuse, pas de problème. C’est le jeu, l’important c’est de passer et d’écarter les nazis et les corrompus, on s’arrangera plus tard pour les détails.
Le souci c’est que “la gauche” 'n’existe pas. Il y en a au moins deux, avec des priorités et des valeurs plus irréconciliables qu’à jamais. Donc cette hypothétique unité ne pourra jamais être que de façade, avec un destin tout aussi prévisible que celui du NFP actuel.
Pas sur que la frontière soit aussi nette chez les électeurs. Au dernières législatives, j’ai jamais entendu autant de “il faut voter hein” autour de moi, de la part de gens pas plus engagés que ça.
Que l’unité soit de façade, et qu’ils passent le reste du mandat à se cracher dessus si ça les amuse, pas de problème. C’est le jeu, l’important c’est de passer et d’écarter les nazis et les corrompus, on s’arrangera plus tard pour les détails.